Il arrive que nous sachions (cerveau gauche) qu’un évènement est passé mais que notre corps ne le ressente pas comme tel (cerveau droit). Par exemple à l’évocation d’un sujet la mâchoire se crispe, la colère monte, le ventre se noue, etc. A l’inverse nous pouvons être comme anesthésié à l’évocation de certains souvenirs, ou nous évitons d’y repenser volontairement. Ces petits signes corporels, parfois très discrets, nous montrent que le corps n’a pas digéré l’évènement et continue d’en souffrir.
L’ICV permet la réorganisation neuronale du cerveau en relançant le travail inter-hémisphère et en montrant au corps que le temps a passé, que les évènements douloureux sont terminés.